Madame la ministre, le volume des programmes a, certes, augmenté de 15 %, mais faire passer de une heure quinze à une heure trente la durée d’une émission ne constitue pas une avancée formidable.
Ma proposition est très simple. Dans certains territoires, il existe, pour des raisons historiques, des langues régionales. Ainsi, en Loire-Atlantique, plus de 80 % des noms de lieux sont en langue bretonne, et des classes bilingues permettent aux enfants d’apprendre le breton. Le statut de cette langue dans le département est donc sans ambiguïté. Bien entendu, nous n’avons aucunement l’intention d’imposer ailleurs l’usage du breton !
Je note que la SNCF, par exemple, a parfois des difficultés avec les langues.