Cet amendement vise à lutter contre des formes de discrimination qui touchent les langues régionales. J’évoquerai une discrimination parmi d’autres : nous avions l’habitude que ce soit le ministre de la culture ou, à défaut, celui de l’éducation nationale, qui s’occupe au Gouvernement de la question des langues régionales. Désormais, c’est le ministre du logement. Où habite-t-on ? Je l’ignore. En tout état de cause, nous sommes loin de la répartition normale des compétences au sein d’un gouvernement.