Même avis, pour deux raisons.
Tout d’abord, ces dispositions ne relèvent pas de la loi. Elles sont, de plus, déjà satisfaites, puisque rien n’interdit, à ce jour, à une structure organisatrice d’activités de loisirs pour les jeunes de faire de la promotion de la langue régionale un de ses objectifs. Je rappelle que, dans le cadre de l’accueil collectif de mineurs, la réglementation impose à l’organisateur la production d’un projet éducatif. C’est celui-ci qui doit guider les équipes d’animation dans la définition d’objectifs pédagogiques. L’objectif de meilleure connaissance d’une langue régionale peut y figurer.