Monsieur le secrétaire d'État, comme vous, je considère qu'interrompre le dialogue avec un pays parce qu'il ne respecte pas la démocratie et les droits de l'Homme ne constitue pas la bonne solution. Il est préférable d'utiliser ce dialogue politique préservé pour tenter de peser, tout en poursuivant les affaires économiques et en favorisant le développement. Ce dialogue politique vous semble-t-il plus difficile à mener en Azerbaïdjan que dans les autres pays de cette zone géographique, comme l'Arménie ou la Géorgie ? Faut-il le renforcer ?