Ce n'est pas dans le cadre de cette discussion que nous pouvons bouleverser l'équilibre et la logique d'actuarisation des mécanismes d'assurance emprunteur. Je ne nie pas l'intérêt de réfléchir à la possibilité d'une telle renégociation, mais il serait assez imprudent de la proposer sans en mesurer exactement les conséquences : si l'emprunteur peut renégocier, la banque peut quant à elle lui demander de rembourser son prêt.