Depuis 2012, je propose que soit donnée valeur législative à l'interdiction des téléphones portables et de l'accès autonome à internet en prison. Cette interdiction n'a aujourd'hui de valeur que réglementaire. Or les portables sont nombreux en prison – on peut considérer que chaque détenu en détient un – et souvent utilisés à des fins malveillantes ; on l'a encore constaté récemment.