Les femmes s'imposent d'abord des freins à elles-mêmes. Elles hésitent à s'engager lorsqu'elles ont des responsabilités professionnelles. Elles demandent systématiquement le soutien de leur famille, conjoint et enfants, ce que les hommes ne font pas. Ensuite, parce qu'elles sont toujours confrontées à un procès en incompétence, elles doivent, plus que les hommes, prouver leurs qualités. Cela les amène à travailler davantage leurs dossiers, ce qui explique qu'elles aient besoin de demander des mi-temps. Il n'y a pas d'études sur le sujet, et je ne sais pas si vous l'avez constaté, mais je me demande si le taux de divorce des femmes engagées dans la vie politique n'est pas supérieur à la moyenne…