Je vous remercie de votre réponse, madame la secrétaire d’État. Toutefois, elle ne me satisfait pas complètement. Si nous avons la chance de disposer d’une couverture des zones rurales comme des zones urbaines, c’est grâce aux interventions des sapeurs-pompiers volontaires, avec le concours des professionnels bien entendu. Il est anormal, me semble-t-il, d’obliger un sapeur-pompier volontaire à demander à son employeur des journées de congé pour suivre une formation dans un centre départemental d’incendie et de secours. Nous, membres de la représentation nationale, les considérons comme les premiers serviteurs de l’État, ce qui leur confère certes des devoirs mais aussi des droits, dont celui de ne pas avoir à prendre un congé sur le quota de jours qu’ils peuvent prendre pour raisons familiales pour suivre une formation au profit de la nation.