Vous avez raison, monsieur Le Bouillonnec. Cela sera décompté bien évidemment de mon temps de parole. Je partage votre sentiment et j'ai bien entendu votre propos à la tribune tout à l'heure.
Ils se demandent également quel doit être le rôle du Parlement, et si la conduite de l'État se résume à la simple application de promesses électorales numérotées. Promesses électorales toutes relatives, puisque le président Ollier nous a démontré que les engagements que l'on nous annonçait comme tels n'en étaient pas précisément. Les gens n'ont pas voté pour des promesses, mais pour un individu, dans lequel ils ont confiance. (« Avaient ! » sur les bancs du groupe UMP.)