En tout cas, j'avais l'impression que nous nous acheminions vers une sorte de réquisitoire ; or ce n'est pas du tout – et heureusement – ce que le rapporteur vient de nous exposer.
Pour ce qui est des recommandations, monsieur Premat, il est habituel que, s'agissant des missions ou des commissions concernant les pays étrangers, elles s'adressent au Gouvernement – ici dans la perspective de conforter la relation entre la France et l'Azerbaïdjan. Mais il semblerait tout à fait inopportun que ces recommandations puissent prendre l'apparence de leçons données à un État souverain, quelle que soit par ailleurs l'appréciation qu'on porte sur la manière dont il est gouverné. C'est pourquoi j'approuve la teneur de vos recommandations, monsieur le rapporteur, qui me semblent tout à fait utiles.