C'était très clair, cher collègue Rochebloine. Il suffit de relire la proposition de résolution que vous aviez déposée. Il suffit de visionner les débats de la commission des affaires étrangères sur le sujet. Et il suffit de voir comment – de manière tout à fait remarquable – cette commission avait rejeté la proposition de création d'une commission d'enquête.
Il suffit également de voir comment, grâce au « droit de tirage », nous avons obtenu une mission d'information, dans le cadre des missions d'information qui peuvent être créées par la Conférence des Présidents. On peut d'ailleurs s'interroger sur le fonctionnement du « droit de tirage », mais c'est un autre problème…
Nous nous engagions clairement dans cette voie : celle d'un président – je l'ai dit dès le début et je le redis aujourd'hui – qui a diffamé l'Azerbaïdjan – semble-t-il puisque, pour l'instant, il n'est que mis en examen…