Les Belges nous ont indiqué qu'il s'agissait d'un individu radicalisé, puis, nous n'avons plus eu d'informations jusqu'au lendemain, 15 novembre, date à laquelle la Belgique a délivré un mandat d'arrêt contre Salah Abdeslam.
Cela étant, monsieur le président, il faut tout de même garder à l'esprit que c'est le contrôle d'Hordain qui a permis l'identification des deux individus venus récupérer Abdeslam et qui a conduit à établir avec certitude qu'il revenait de Paris.