S'agissant du partenariat commercial, il existe un passif qui est peut-être en train de se corriger. Ainsi, mon exemple de l'usine Michelin montre que cela est positif des deux côtés. Il faut nous appuyer sur l'image positive de cette entreprise.
S'agissant des déchets, l'Inde est surtout demandeuse de transferts de technologies. C'est à nous de trouver le bon équilibre de partenariat. Pour l'Inde, l'Europe n'existe pas, ou du moins elle la voit de façon très négative : cela peut nous permettre d'être particulièrement à l'offensive et de réintroduire l'Europe grâce à des références positives.