Je souligne aussi le risque d'amalgame et je crois qu'il faut éviter d'avoir une analyse trop simpliste de la réalité. Comme l'a bien montré Gilles Keppel, les périodes de guerre au Moyen-Orient génèrent des dommages très profonds et produisent des effets très complexes qui échappent à une analyse superficielle de la réalité.