J'allais revenir sur l'article 310 pour poser à nouveau une question précise à laquelle je n'ai toujours pas eu de réponse mais entre-temps, je voudrais rebondir sur la remarque de M. Mariton à propos des maires.
Une fois de plus, je vais citer le magazine Têtu – il n'aura jamais été aussi présent dans l'hémicycle qu'à l'occasion de l'examen de ce texte ! – et Mme Narassiguin, disant : « Le maire saura adapter ses propos ». C'est en parfaite contradiction avec un argument que vous nous avez opposé précédemment. Nous avons demandé, revendiqué la liberté de conscience pour les maires, mais vous nous avez opposé une fin de non-recevoir au nom de la légalité en nous disant : « Quelle qu'elle soit, le maire doit appliquer la loi. Peu importe l'homme…