La garde des dépôts – j'entends le fait d'en assurer physiquement la surveillance – n'est pas de notre ressort. En revanche, nous avons la responsabilité de savoir ce qui se passe dans leur environnement s'ils sont situés dans des zones relevant de notre compétence, ce qui était le cas du dépôt de Miramas, où des munitions ont été volées en juillet 2015.