On peut considérer que je dispose de ces personnels depuis le début car, si la gendarmerie n'était pas structurée autour d'une sous-direction en 2013 – la structuration ne s'est faite que fin 2013, début 2014 –, les analystes, eux, étaient déjà là aux plans départemental et régional : il ne restait plus qu'à mettre en place un chef pour coordonner leur action.
Le fait de disposer de deux personnels arabisants (deux sur la trentaine d'analystes de l'administration centrale) – une ressource malheureusement rare – à la sous-direction représente un avantage considérable.