Ce dossier du PNR européen pose la question de la conciliation entre la liberté et la sécurité. J'ai le sentiment qu'avec le « masquage », au bout de deux ans, des données personnelles recueillies, le projet qui nous est soumis prend les précautions nécessaires. Je pense aussi qu'il importe, en matière de terrorisme, de renforcer les services de police et le renseignement. S'agissant de la souveraineté nationale, j'estime, pour ma part, que, pour la rendre effective, il faut savoir la partager. C'est au contraire d'un approfondissement de la gouvernance européenne que nous avons besoin.