Je m'associe à votre pensée pour notre présidente et lui souhaite un prompt rétablissement.
Je reviens sur notre méthode de travail. Je viens d'apprendre que, mercredi prochain, nous examinerions en deuxième lecture la loi Rebsamen, qui aura été votée la veille à quinze heures par le Sénat, puis examinée, à dix-huit heures trente, en commission mixte paritaire dont on imagine qu'elle échouera. Je m'interroge : a-t-on encore le droit d'amender des textes ? Je vois mal comment nous aurions le temps de déposer des amendements. Nous ne pouvons pas continuer de travailler dans de telles conditions si nous voulons voter des textes réfléchis. Merci, madame la présidente, de bien vouloir transmettre notre grief au ministre.