Monsieur le commissaire, vous êtes engagé depuis toujours au service de l'intérêt général européen, et je vous félicite à mon tour de cette nomination. Vous avez raison : c'est aujourd'hui l'Europe de la dernière chance. Je le constate dans ma circonscription cévenole comme vous l'avez fait dans la vôtre : le repli sur soi, la peur de l'autre, le rejet de l'idée européenne rongent peu à peu nos concitoyens, qui se dirigent vers des votes extrêmes.
Vous avez parlé de mesures globales pour remédier aux faiblesses de l'offre et de la demande : quelles sont-elles ?
Vous avez également évoqué une politique fiscale plus juste pour les entreprises. Quels sont les premiers leviers que vous souhaitez actionner ?
Enfin, nous pouvons, je le sais, compter sur votre détermination dans la lutte contre l'évasion fiscale, la fraude et la planification fiscale agressive. Quels sont les résultats objectifs de cette lutte ? Avons-nous, au niveau européen, des résultats probants ?