Or, faire en sorte que l'Assemblée nationale soit au moins au niveau du Sénat, ne relève pas de nous mais de vous, monsieur le président.
Monsieur le rapporteur, je crains que la comparaison avec le sénateur Michel, qui fut d'ailleurs député ici, vous soit un peu défavorable, parce que les sénateurs vont faire un travail certainement plus objectif, long et exhaustif. Ce n'est pas bon.
Que l'opinion sache qu'une personne aussi compétente – et qui ne partage pas nos opinions d'une manière générale – soit reçue en audition au Sénat alors qu'elle ne l'a pas été dans une commission de l'Assemblée nationale qui prétendait pourtant vouloir travailler, ce n'est vraiment pas à mettre à votre crédit, monsieur le rapporteur.