Sans nos services de renseignement, l'opération Serval n'aurait pas eu le succès que l'on sait. Nous ne pourrions pas non plus lutter contre les trafics en tous genres et le terrorisme sur notre territoire.
Je voudrais souligner les aspects budgétaires du renseignement. Dans la décennie à venir, le renseignement nécessitera des investissements de plusieurs milliards, tels les satellites ou les radars.
Il faut aussi évoquer les modalités de protection de l'exercice du renseignement. Les problèmes qui se posent ne sont pas simples, surtout lorsque les personnels des services de renseignement interviennent en dehors du territoire français.