On peut toujours rêver, mais il faudra beaucoup plus que les quelque 160 millions du budget de l'Autorité de contrôle prudentiel pour pouvoir accomplir tout cela.
Vous me répondrez : « Après tout, ce n'est pas très grave, ce n'est pas le budget de l'État, ce n'est que l'argent des banques, puisque ce sont les banques qui paient l'Autorité de contrôle prudentiel. » Mais vous savez, on ne peut à la fois entamer la rentabilité des établissements bancaires et pleurer lorsque les banques conduisent des opérations de restructuration et de réduction de personnel.