Et c'est le président François Hollande lui-même qui a dû ce week-end concéder publiquement une défaite française sans précédent à Bruxelles face au couple Cameron-Merkel, puisque jamais aucun budget européen n'avait connu jusqu'ici une baisse de 50 milliards d'euros, qui frappe précisément tous les secteurs de la relance : la recherche, les transports, l'énergie, l'espace...
Quant à cet adversaire désigné qu'était la finance, votre texte offre là aussi l'exemple d'une magnifique reculade devant la « finance triomphante » qui, si elle est trop habile pour se réjouir publiquement aujourd'hui, doit se dire en aparté que comme d'habitude, et je l'ai entendu, on ne gagne jamais autant d'argent, quand on est banquier ou spéculateur, que lorsque la gauche est au pouvoir.