Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, à la bonne heure ! Je n'avais jamais autant entendu parler de la crise par nos collègues socialistes que depuis le 6 mai dernier.
Aujourd'hui, comme par hasard, cela s'amplifie. Vous parlez d'une crise sans précédent. Ce n'est pas trop tôt d'entendre enfin la vérité sur cette crise que vous avez niée sous la précédente législature. Pourquoi y faites-vous enfin référence avec autant de force ?