Nous le faisons et c'est l'objet de ce texte de loi. Nous pouvons être en désaccord, mais personne ne peut soutenir qu'il n'était pas au courant, même si je suis convaincu que ce n'était pas le sujet principal du choix des Français – encore que – à l'occasion des élections présidentielles.
Deuxièmement, le Président de la République s'est engagé – il l'a réaffirmé il y a quelques semaines – à une introduction d'une dose de proportionnelle au sein du scrutin législatif. De toute façon, je vous le rappelle, nous aurions eu ce rendez-vous si le Président de la République sortant avait été réélu puisqu'il s'y était lui-même également engagé lors de son premier meeting de campagne à Marseille.