Le bon sens, c'est cet amendement que présente François de Mazières. Il suffit en réalité de faire confiance à la bonne volonté et à l'intelligence des candidats qui, d'un commun accord, déclareraient à la préfecture l'ordre convenable.
Il n'y a aucune raison pour que le Gouvernement s'y oppose. Quel argument idéologique, pratique ou juridique justifierait un refus ? Pourquoi les candidats ne pourraient-ils pas choisir l'ordre dans lequel ils souhaitent se présenter librement aux électeurs ?
Cela n'insulte personne, ne va à l'encontre ni des droits des hommes et des femmes, ni d'aucun principe : il s'agit là d'une question de bon sens.