Monsieur le rapporteur, si je souhaite que l'on suive la position de la chancellerie, c'est parce que ses services travaillent à la rédaction d'un livret qui serait remis aux époux à l'occasion de l'échange des consentements. Il faut simplement trouver un moyen juridique pour que l'officier d'état civil puisse s'assurer que les époux à qui le livret est remis en ont bien compris la signification, pour éviter des situations difficiles…