Vous avez parlé, monsieur le ministre, de « guerre de mouvement ». Compte tenu de la dimension territoriale du Mali, le volume actuel de nos troupes, notamment au sol, vous semble-t-il suffisant ? Est-il amené à augmenter, et, si oui, dans quels délais ? Nos moyens matériels de reconnaissance et d'identification sont-ils également suffisants ? Enfin, quelles conséquences entendez-vous tirer de ce conflit pour la rédaction du Livre blanc ?