Messieurs les ministres, ce collectif est sans souffle, sans projet. Il est avant tout animé par l'esprit de revanche. Il est injuste pour les salariés modestes et il ôte tout espoir à l'ensemble de nos entreprises, notamment aux petites et moyennes entreprises en difficulté.
Messieurs les ministres, chers collègues de la majorité, vous allez regretter ce collectif. Vous vous demanderez pendant longtemps pourquoi vous avez perdu tant de temps en ce début de législature alors que l'économie et la société française appelaient l'urgence ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Pour terminer sur une note plus positive, je m'associe à tous les remerciements. Je vous remercie particulièrement, mes chers collègues de la majorité et de l'opposition d'avoir été si présents dans ces débats. Je remercie également l'ensemble du personnel de l'Assemblée nationale. Je remercie M. le rapporteur général de la qualité du travail que nous avons mené en commun, ainsi que MM. les ministres et leurs collaborateurs. A tous, je souhaite un bon repos ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.)