Je regrette de n'avoir pas été présente au tout début de cette réunion, étant dans l'hémicycle pour le débat sur les conclusions du Conseil européen. Je retiens de vos propos que l'on est face à un problème majeur, qui est celui de l'impuissance et de la déliquescence des Etats, comme on le voit très bien également en Libye, pays riche, avec du potentiel. Le problème n° 1, c'est la défaillance de l'Etat. On va devoir s'y intéresser au plan bilatéral pour voir ce que nous pouvons apporter pour que les administrations publiques soient solides ; accessoirement, on ne doit pas oublier les intérêts qu'il peut aussi y avoir pour nos entreprises.