Deuxième interrogation : l'État malien étant aujourd'hui – c'est le moins que l'on puisse dire – très fortement affaibli et n'étant pas doté d'institutions stables, comment et quand comptez-vous obtenir une stabilisation institutionnelle de ce pays ?
Troisième interrogation : quand l'État malien sera-t-il en mesure d'installer des services publics dans les villes récemment libérées par l'armée française dans le nord du Mali ?
Quatrième interrogation : qui va tenir ces villes ? L'armée française ou les forces africaines ? Et quand ces dernières seront-elles en mesure de le faire ?
Cinquième interrogation : pourquoi sommes-nous si seuls dans cette mission qui intéresse pourtant la sécurité de toute l'Europe et, au-delà, de toutes les démocraties occidentales ?