Ma question et la réponse de M. le ministre étaient relativement courtes, monsieur le président !
Je souhaite que l'on examine de plus près tous ces projets qui, s'ils ne sont pas cofinancés par l'État, disparaîtront, ce qui entraînera la mort de certains bassins aujourd'hui totalement enclavés.
Les discussions doivent, en conséquence, se poursuivre le plus vite possible, monsieur le ministre.