Pourquoi la loi prévoirait-elle une « participation accrue des parents à l'action éducative » alors que cette participation est première ? L'amendement est ambigu : il insiste sur la « co-éducation » mais sous-entend que les parents n'en font pas assez. Si le problème se situe au sein de la famille, ce n'est pas un texte sur l'école qui le résoudra. Quant à l'école, ce sont les enseignants qui y ont une place première. Bref, je partage les réticences de M. Frédéric Reiss à l'égard de cet amendement.