Le sujet est loin d'être consensuel : si la scolarisation précoce est bénéfique pour certains enfants, elle ne l'est pas pour tous.
D'autre part, la rédaction de l'article 5 n'apporte rien de neuf par rapport à la loi de 2005 qui, à la suite de celle de 1989, demandait qu'on accorde une attention particulière à la scolarisation des enfants de moins de trois ans dans les territoires défavorisés.