On voit réapparaître ici le débat classique opposant le zonage et la prise en compte des individus. L'amendement remet en cause notre conception de l'éducation prioritaire : il ne doit pas s'agir d'une politique limitée à l'école et visant des personnes ou des catégories déterminées, mais d'une politique globale et concertée, traitant de tout ce qui relève de l'aménagement du territoire et mobilisant à ce titre aussi bien les ministères de la ville et des transports, par exemple, que celui de l'éducation nationale. Avis défavorable.