Je souscris pleinement à ces observations. S'il appartient à l'exécutif d'assurer la mise en oeuvre du socle commun, nous enverrions un très mauvais signal en lui abandonnant la définition de celui-ci, d'autant que l'éducation nationale est un peu fermée sur elle-même. De ce point de vue, la loi de 2005 avait été l'occasion d'un dialogue. Il serait dommage aujourd'hui de nous prononcer pour l'existence d'un socle commun dont nous ne pourrions fixer les grandes orientations.