Il s'agit d'ouvrir à tous un droit égal d'accès au numérique – et c'est en cela que l'on peut parler de service public, mais le seul service public est assurément celui de l'éducation nationale, dont le service de l'enseignement numérique ne saurait s'émanciper et auquel il ne saurait se substituer.
Votre amendement est trop sec et j'émets un avis défavorable, mais je proposerai moi-même des amendements tendant à éviter que le service public du numérique ne devienne un concurrent ou un substitut au service public de l'éducation.