…la liberté pédagogique des professeurs. Je ne vois pas un mot sur la violence scolaire. J'aurais pourtant souhaité que cette question fût abordée, dans ce texte, de même que dans le rapport de la commission de l'été dernier ; elle ne l'est pas, alors que nous savons que, sur ce sujet, les attentes de la communauté éducative, des pouvoirs publics, des parents et, souvent, des élèves eux-mêmes sont fortes. Il n'y a pas un mot non plus pour rappeler que les parents sont les premiers éducateurs et que, en tout état de cause, l'éducation nationale ne doit agir que par délégation donnée par eux.