De même, la lutte contre les stéréotypes et l'éducation sexuelle dès le plus jeune âge est-elle vraiment une priorité pour la refondation de l'école ? N'est-elle pas plutôt du ressort des parents, qui sont les premiers éducateurs et les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants ? De grâce, ne cédez pas aux féministes intégristes qui voudraient débaptiser les classes maternelles !
Sans vouloir relancer la querelle de l'enseignement privé et de l'enseignement public – j'ai accompli toute ma scolarité dans des établissements publics, notamment un collège classé en ZEP –, je souhaiterais savoir pourquoi vous ne répondez pas aux questions de l'enseignement catholique concernant l'égalité entre élèves du public et du privé dans la mise en place des rythmes scolaires, le financement du numérique ou le maintien de la spécificité de la formation initiale ? Ce dernier point est devenu crucial aujourd'hui, alors que les assurances qui avaient été données paraissaient suffisantes !
Vous le voyez, monsieur le ministre, mon rêve ne pourra se réaliser. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)