On comprend bien que c'était nécessaire au début. Nous n'allions pas, alors que l'attitude des groupes terroristes était ce que vous savez et que la décision devait être prise en quelques heures, consulter l'ensemble des partenaires. Certains nous ont aidés, et il faut le reconnaître. J'en discutais tout à l'heure avec mon collègue et ami M. Le Drian : en ce qui concerne le ravitaillement et un certain nombre d'aides logistiques, vous l'avez souligné, il y a eu des aides. Cependant, c'est vrai, la France et ses soldats, auxquels vous avez à juste titre rendu hommage, assument l'essentiel de la charge du travail et de la responsabilité.