J'ai été responsable de programmes et je connais, par conséquent, le fonctionnement de la LOLF. Le rôle d'un responsable de programmes, et a fortiori d'un ministre, est d'être en mesure, là aussi, après des échanges avec Bercy et avec le Parlement, de faire évoluer un certain nombre d'indicateurs, lesquels ne sont pas gravés dans le marbre.
J'entendrais d'autres arguments de votre part, mais celui-ci, permettez-moi de vous le dire, ne tient, hélas, pas.
(Les amendements identiques nos 574 , 681 et 997 ne sont pas adoptés.)