Nous avons longuement écouté nos collègues de l'opposition, ce qui est normal, car ils ont déposé beaucoup d'amendements. Nous avons été particulièrement patients, depuis deux jours, puisqu'ils répètent toujours un peu la même chose.
M. Apparu nous a ainsi expliqué à plusieurs reprises que ce texte n'était pas à la hauteur, que l'on ne pouvait parler de refondation. Mais n'y a-t-il vraiment rien à changer quand 140 000 jeunes sortent chaque année de l'école sans diplôme ?