Monsieur Ménard, les Français, les enseignants, les collectivités locales connaissent votre bilan actuel sur les rythmes scolaires. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Aussi, si j'étais vous en ce moment, je pense que je ne ferais pas le fier sur ce sujet ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Cela étant, oui, nous appelons de nos voeux une refondation de notre école. Le problème, c'est que cette loi n'est en rien une refondation du système scolaire français. C'est ce que nous lui reprochons depuis le début. Il y a beaucoup de phrases, beaucoup de jolis verbes, beaucoup d'intentions éminemment sympathiques. Mais en termes de contenu réel, il n'y a pas grand-chose !