Je voudrais poursuivre la démonstration de mon collègue Patrick Hetzel.
Nous avons effectivement un mauvais souvenir de ces formateurs qui n'avaient plus mis les pieds dans une école, un collège ou un lycée depuis parfois dix ou vingt ans, et dont l'enseignement dispensé aux nouveaux arrivants était totalement déconnecté de la réalité du terrain.
Dans la discussion générale, il a été rappelé que les élèves ont énormément changé au cours de ces dix dernières années, ce qui rend encore plus important le contact avec le terrain : c'est pour cela que l'exercice à temps partiel d'une activité d'enseignement, au contact des élèves, nous semble important.