J'y reviens parce que la comparaison avec le système canadien est intéressante. Dans ce collège de la banlieue défavorisée de Toronto, les professeurs sont presque tous bivalents. Ils enseignent, par exemple, les mathématiques et la musique, ou les mathématiques et l'informatique, deux disciplines qui ne sont pas totalement étrangères l'une à l'autre, et ce collège obtient des résultats encourageants en matière de réduction de l'échec scolaire. Monsieur le ministre, il ne faut rien s'interdire…