Je voudrais revenir sur les reproches qui nous sont faits au sujet de la durée de nos discussions et de nos mille amendements. Monsieur le ministre, un tel sujet, une réforme qui concerne l'avenir de nos enfants, mérite plus que mille amendements, qui ne sont rien d'ailleurs en comparaison des cent trente-cinq mille amendements d'obstruction qui avaient été déposés par l'opposition en 2008 ou 2009 au moment du débat sur les retraites.