L'ensemble des dépenses sociales représente un tiers du PIB. Elles ont servi et continuent de servir d'amortisseur dans la crise. Nous demeurons attachés au modèle social français qui a certes un coût – nous devons y être attentifs – mais permet aussi que le taux de pauvreté soit aujourd'hui de trois points inférieur en France à ce qu'il est en Allemagne.
Sans plus attendre, je vous laisse la parole, monsieur Pisani-Ferry.