Je trouve la rédaction de l'alinéa 249 consacré à la question – éminemment importante – de la violence scolaire ambiguë. Vous affirmez qu'une approche sécuritaire n'est pas souhaitable sans qu'on comprenne véritablement si vous condamnez celle-ci ou pas. Sur un problème de cette nature, dont le texte reconnaît d'ailleurs la gravité puisqu'il se réfère au fait de l'insécurité dans l'école, il faut être plus net dans ses intentions.
Je propose donc une nouvelle rédaction de la fin de cet alinéa qui mentionne « des sanctions proportionnées visant à ne pas laisser les comportements violents se banaliser et se développer du fait de leur impunité ».