Je regrette que l'amendement précédent ait été retiré. J'ai bien compris les observations qui ont été faites sur l'impossibilité de prévoir dans la loi la création de ce statut et sur les problèmes que celle-ci entraînerait.
Les parents doivent avoir le temps de participer aux instances de concertation, c'est une partie de leur apport à la réforme du système éducatif. On aurait pu s'inspirer de cet esprit et compléter l'alinéa 253 sur la « co-éducation », qui prévoit de reconnaître aux parents la place qui leur revient au sein de la communauté éducative, ainsi : « et de faciliter leur participation aux instances de concertation, notamment académique ». Nous aurions ainsi conservé, à défaut de sa lettre, l'esprit de l'amendement.